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Les Pays-Bas cèdent aux pressions en faveur des jeux

La semaine dernière, le gouvernement néerlandais a fait la une des journaux après avoir révélé qu’on passerait à la législation des jeux en ligne. Les autorités ont confirmé les plans d’introduire de nouvelles mesures censées accorder aux citoyens l’accès aux casinos en ligne basés à l’étranger. Ces mesures pourraient entrer en vigueur en 2015 – et il va sans dire que la communauté des joueurs néerlandais attend impatiemment le changement.

Les nouvelles libertés mettront les Pays-Bas sur le même plan avec d’autres pays de l’UE, y compris l’Autriche, l’Italie et la France, qui ont dissous leurs systèmes de monopole gérés par l’Etat il n’y a pas longtemps. La controversée décision advient après des années de batailles juridiques entre le gouvernement et les grandes marques de jeux en ligne. Bien que le jeu soit légal aux Pays-Bas, le marché est dominé par Holland Casino, une société gérée par l’Etat, qui est responsable de la gestion et le fonctionnement de tous les 14 établissements de la marque.

Un tel état de choses a déterminé les grandes compagnies de l’industrie à accuser le gouvernement de non-conformité à la législation de l’UE concernant la libre prestation des services. D’autres ont également souligné les tentatives répétées du gouvernement de décourager les citoyens d’accéder à des casinos en ligne basés en dehors du pays. Les événements ont atteint le paroxysme en 2008, après que les banques néerlandaises ont été chargées de refuser les transactions entre les casinos en ligne et les joueurs – une action qui s’est inspirée de la législation américaine.

Maintenant, beaucoup espèrent que les négociations ouvriront la voie à une plus grande liberté de jeu dans un pays autrement très ouvert aux nouveautés. Les opérateurs seront également tenus de demander des licences qui seront mises aux enchères en ligne.

Les opérateurs européens – une option plus sûre pour les joueurs

Les principales sociétés européennes de jeux ont tiré profit de la répression menée par les procureurs américains contre le poker en ligne aux Etats-Unis. Il semble que la confiance dans les opérateurs proscrits par les procureurs fédéraux ait été endommagée sans espoir de réparation.

Les actions en bwin.party ont augmenté de près d’un tiers, pour clôturer à 170 points, alors que 888 Holdings a augmenté de 20%, Playtech de plus de 7% et Sportingbet de près de 5%.

Ces évolutions sont dues à ce que l’analyste Nick Batram de Peel Hunt a appelé un « événement virtuel sismique » dans l’industrie du jeu.

Les procureurs fédéraux américains font appel à leurs homologues internationaux à arrêter la plupart des fondateurs de PokerStars, Full Tilt et Absolute Poker, qui ont été accusés de paris illégaux, blanchiment d’argent et fraude bancaire. Leur sites non réglementés aux Etats-Unis ont été saisis, même si PokerStars et Full Tilt continuent à fonctionner en Europe, où ils sont soumis à une réglementation. PokerStars a une licence obtenue dans la juridiction de l’île de Man et Full Tilt est enregistré à Alderney.

La plupart des opérateurs européens ont fui le marché américain en 2006 quand le Congrès a interdit les transactions impliquant les jeux en ligne. Mais PokerStars et Full Tilt ont comblé le vide, acceptant les paris des clients américains et s’étendant ensuite sur le marché européen.

Comme les joueurs de poker sont à la recherche de paradis de jeux sécurisés, il y a des opérateurs qui ont l’intention d’exploiter la situation en déployant plus de spots télévisés, promouvant leur sérieux.

Mor Weizer, chef de la direction de Playtech, a déclaré que le trafic sur son réseau iPoker avait augmenté depuis le vendredi 15 avril. « On n’a plus confiance dans les opérateurs non réglementés. Il y a des millions de joueurs non-américains qui recherchent maintenant des opérateurs de confiance pour y placer leurs paris. »

L’analyste Ivor Jones, directeur de Numis Securities, dit que le climat est en faveur des opérateurs européens mentionnés: « Nous croyons que PokerStars et Full Tilt ne peuvent pas continuer à fonctionner compte tenu de l’action continue des autorités américaines. Si tel est le cas, ce serait clairement une nouvelle étape de changement du marché ».

James Hollins, directeur d’Evolution Securities, pense que l’action du ministère américain de la Justice ne signifie pas nécessairement que les États-Unis cherchent à réglementer le poker en ligne, chose souhaitée par les opérateurs tels que bwin.party et 888.

Selon d’autres, la saisie des sites américains aura aussi d’importantes conséquences dans d’autres domaines, une fois avec la disparition de la publicité et une couverture médiatique des tournois de poker considérablement réduite.

32Red conclut un accord avec Cantor Gaming

32Red Plc, le groupe de jeu en ligne cotée en bourse, a annoncé la conclusion d’un accord en marque blanche avec Cantor Gaming and Wagering Limited.

Aux termes de l’accord, Cantor Gaming fournira à 32Red un service de paris à cote fixe, qui sera accessible à partir de la page d’accueil du casino.

Cela signifie qu’au-delà de l’excellente collection de 450 jeux de casino en ligne disponibles dans le Casino 32Red, les joueurs pourront également profiter d’une plate-forme de paris à cote fixe.

Lee Amatis, chef de la direction de Cantor Wagering and Gaming, a déclaré: « Nous sommes extrêmement heureux de nous associer à 32Red, l’un des principaux participants du marché, qui dispose d’une large gamme de jeux en ligne et de vastes connaissances et expériences dans le secteur des jeux en ligne. »

Amatis a déclaré aussi que cet accord était une preuve de « la demande croissante pour les paris à cotes fixes. »

Des contrats similaires ont été conclus entre Cantor Gaminget d’autres grands noms de l’industrie du jeu, y compris Ladbrokes et Party Gaming.

Gaming Cantor est une filiale du groupe Cantor Fitzgerald, qui a plus de 65 ans d’expérience dans la fourniture de services financiers.

32Red Plc, le groupe coté à la Bourse de Londres, a reçu de  nombreux prix au fil des ans, le plus prestigieux étant celui du Casino de la Décennie en 2010.

32Red est autorisée et réglementée à Gibraltar et son fournisseur de jeux est Microgaming.

Unibet atermoie son entrée en France

Le chef d’Unibet Henrik Tjarnstrom a fustigé la décision du gouvernement français de ne pas réformer le système d’imposition des jeux cette année. Cela confirme la décision de la compagnie de retarder encore sa rentrée en France.

Le ministre du Budget François Barroin a récemment annoncé qu’il n’y aurait pas de révision des taux d’imposition avant les élections de mai 2012.

Tjarnstrom, dont l’entreprise ne mène pas encore d’opérations en France, malgré avoir reçu une licence pour le poker, les paris sportifs et les courses de chevaux, a commenté: « Comme nous l’avons dit en février dans la communication autour de notre 4ème trimestre, nous demandons des licences basées sur la rentabilité, et la France ne semble pas le bon choix. Nous avons beaucoup de choses auxquelles nous pouvons consacrer nos ressources, et à moins que les termes et les conditions ne s’améliorent en France, nous ne pouvons pas y faire de l’argent. L’ouverture semble un échec. »

« Nous avons la licence, il s’agit maintenant d’allouer des ressources de  développement à notre lancement là-bas. Nous avons dit dans notre mise à jour de février que ce serait à la fin du 2ème trimestre, mais on devra l’atermoyer encore plus ».

Les opérateurs privés en ligne tels que BetClic Everest, Bwin, Zeturf et Chiligaming ont toujours fait valoir que le régime fiscal actuel ne permet pas de réaliser un bénéfice et de faire une offre assez compétitive pour ramener les joueurs dans le régime réglementé.

Le 22 mars, l’organisme représentant les opérateurs français, L’Association Française du Jeu en Ligne (AFJEL), a annoncé sa création, remplaçant l’AFOJEL. Il a de plus informé qu’il chercherait à demander un examen du cadre réglementaire et à accélérer les changements nécessaires « pour donner une chance au marché légal. »

Nicolas Béraud, président BetClic Everest et AFJEL, a déclaré le 22 mars que l’organisme avait « proposé trois actions pour rendre l’offre légale plus attractive et compétitive pour les joueurs »:

– remplacer la taxe sur le chiffre d’affaires par un impôt sur les bénéfices bruts;

– réglementer les casinos en ligne;

– séparer les activités et les marques en ligne et hors ligne; cette dernière proposition vise à permettre aux opérateurs privés de concourir sur une base équitable avec les anciens monopoles du PMU et FDJ.

En janvier, la Commission européenne a exprimé de « sérieux doutes » que le régime fiscal, combiné avec le monopole et le taux d’imposition plus bas sur les offres des casinos terrestres du PMU, était compatible avec le droit communautaire. La Commission de la concurrence a également exprimé des préoccupations semblables quant à ce qui équivaut aux aides d’Etat pour le principal opérateur de paris hippiques du pays.

Vers un marché unique des jeux en ligne?

Une consultation à l’échelle européenne sur l’avenir de l’industrie des jeux de hasard en ligne, qui sera publiée le 24 mars par la Commission européenne, est censée produire des « règles harmonisées » pour régir le marché. Sigrid Ligné, secrétaire générale de l’Association Européenne des jeux et paris (EGBA), a donné son avis sur la question dans une interview EurActiv.

« Le jeu en ligne est un marché transfrontalier. La consommation est transfrontalière aussi. Il est clair qu’il y a un fort besoin d’harmonisation des règles », a déclaré Ligné, secrétaire générale de l’EGBA, qui représente des sociétés comme Bwin, Unibet, BetClic et Party Gaming.

« Nous pensons qu’il y a une bonne dynamique pour l’UE d’assumer un leadership fort dans ce domaine », a-t-elle ajouté, évoquant la valeur de 10 milliards € du marché européen des jeux en ligne.

Mais Ligné estime que l’UE a un long chemin à parcourir avant de pouvoir prétendre avoir construit un marché totalement unique des jeux et paris sur Internet.

« Depuis des années, la question a été soulevée par la Cour européenne de justice ou discutée dans les institutions de l’UE […] maintenant il est temps pour les décisions ».

Le commissaire européen au marché Michel Barnier lancera le 24 mars une consultation publique sur les services de jeux en ligne dans le marché intérieur.

Selon une ébauche du projet, la consultation va s’employer à répondre à « tous les enjeux des politiques publiques pertinentes et les éventuelles questions relatives au marché intérieur qui résultent de l’évolution rapide des jeux de hasard licites et illicites ».

L’UE est le terrain où co-existent de différents modèles nationaux de réglementation pour les jeux. Les marchés nationaux ont tendance à être dominés par des monopoles strictement contrôlés ou des opérateurs sous licence d’exploitation dans des cadres extrêmement réglementés.

Toutefois, « le développement de l’Internet et l’offre accrue de services de jeux en ligne ont rendu plus difficile pour ces différents modèles nationaux à co-exister », dit le projet de Livre vert, qui invite les intervenants à se demander si « une plus grande coopération au niveau de l’UE peut aider les Etats membres à atteindre plus efficacement les objectifs de leur politique de jeu ».

« Évidemment, aujourd’hui, nous sommes confrontés à des approches réglementaires qui sont très différentes d’un Etat membre à l’autre », a déclaré Sigrid Ligné, se plaignant que les pays de l’UE « ont des stratégies différentes pour les mêmes objectifs ».

Elle a attiré l’attention sur la tendance de l’industrie de « passer d’une approche prohibitive ou monopolistique à une approche réglementaire », qu’elle décrit comme « une tendance positive ».

« Nous sentons que l’UE a un rôle important à jouer dans l’harmonisation des règles » et l’établissement « d’un cadre commun ». La Commission européenne doit « combattre l’adoption ou la mise en œuvre des réglementations protectionnistes dans les Etats membres ».

Ligné pense que le rythme rapide de l’innovation dans un secteur caractérisé par le développement technologique rapide signifie qu’il est important que les régulateurs fassent des efforts d’autorégulation pour développer les meilleures pratiques.

La représentante EGBA a également attiré l’attention sur les efforts du secteur de mettre en place des règles et des procédures pour résoudre les problèmes rencontrés par les entreprises de jeu en ligne, y compris le blanchiment d’argent, la protection des données et le jeu chez les mineurs.

« L’Internet offre des possibilités uniques de développer des outils de protection pour les joueurs en ligne »: l’accès facile aux services de soutien, les technologies qui permettent de vérifier l’âge et l’ID de joueurs, la pleine transparence et la traçabilité des transactions, la possibilité des utilisateurs de se fixer leurs propres limites de jeu et même de s’auto-exclure, si nécessaire.

« C’est la preuve que des solutions viables existent aujourd’hui, et nous nous attendons à ce qu’elles soient la base de la discussion dans le contexte du Livre vert » a conclu la chef de l’EGBA.

Le président russe veut une législation de jeux plus explicite

Le président russe Dmitri Medvedev a chargé le gouvernement de parachever la législation interdisant les jeux de hasard, qui a été largement conspuée depuis son introduction il y a deux ans.

Medvedev a accordé au premier ministre Vladimir Poutine, au ministre de la Justice Iouri Tchaïka et au ministre des Finances Alexeï Koudrine, deux semaines pour proposer des modifications juridiques qui viendraient soutenir le combat contre les opérateurs de jeu illégaux.

Les casinos illégaux se sont multipliés à travers la Russie depuis que la loi entrée en vigueur en juillet 2009 a interdit le jeu partout, à l’exception de quatre zones lointaines du pays.

Les gouverneurs de Moscou et de Saint-Pétersbourg se sont plaints que les lois contre le jeu étaient insuffisantes, notamment celles en matière de loteries, qui peut être utilisées pour contourner les restrictions sur les jeux.

Un autre problème est l’incertitude concernant les pénalités pour l’organisation de jeux de hasard illégaux.

La police de Moscou a déclaré en février 2011 que 388 casinos illégaux avaient été fermés dans la capitale seulement dans les six premières semaines de l’année.

Dans leurs rapports au président, le maire de Moscou, Sergueï Sobianine et le gouverneur de Saint-Pétersbourg Valentina Matvienko, ont mis en évidence les schémas criminels qui contournent la loi fédérale sur les jeux de loterie. « La législation imparfaite, qui régit les relations dans l’organisation des jeux de loterie prive les organismes de contrôle de la possibilité d’exercer un contrôle sur les maisons de jeu ».

L’industrie des jeux en ligne se renouvelle

La Saint-Valentin a apporté des nouvelles très intéressantes du marché des jeux. L’industrie est en continu mouvement et les grands acteurs font tout pour garder leur position et gagner encore plus de terrain. Voilà les dernières nouvelles:

PartyPoker arrive à une entente avec les casinos de Las Vegas

PartyPoker n’a plus été accessible aux joueurs des États-Unis depuis 2006, lorsque la société s’est retirée du marché après l’adoption de la loi prohibitive. Maintenant, l’entreprise semble être sur le chemin du retour, mais pas justement comme les joueurs de poker en ligne le voudraient.

La rumeur court que PartyGaming a signé un accord avec au moins un, voire deux sociétés de jeux des Etats-Unis, pour lui fournir un logiciel de poker une fois que le marché est réglementé. On dit que les sociétés en question sont Boyd Gaming, MGM, Las Vegas Sands et Caesars.

WSOP.fr obtient la licence française

Quelques jours après l’annonce que les WSOP Europe déménagent de Londres à Cannes, on apprend que WSOP.fr, le site officiel des WSOP en France, a reçu une licence de jeu, octroyé par l ‘ARJEL.

WSOP.fr est une co-entreprise entre Caesars Interactive Entertainment et le Groupe Lucien Barrière. Le site offrira des jeux de poker en argent réel, ainsi que des satellites WSOP pour des événements de Cannes et de Las Vegas.

L’événement de charité de Jen Harman Charity, au bénéfice des chiens

L’un des plus populaires événements de poker de charité – Jennifer Harman Celebrity Poker Tournament – aura lieu le 21 mai au Casino Resort Peppermill de Reno, Nevada.

L’événement comprend un tournoi à un  buy-in de 200 $ et le Throw Down, à 2,500$. Les deux tournois  bénéficient à  la SPCA Nevada et attirent de grands noms du poker: Howard Lederer, Andy Bloch, Daniel Negreanu, Scotty Nguyen, Annie Duke, Lacey Jones et Antonio Esfandiari.

Bwin et PartyGaming envisagent de vendre Ongame

A la suite de la fusion entre Bwin et PartyGaming, le réseau Ongame est en train de devenir un « excédent d’actifs » et sera probablement vendu en totalité. Une autre solution envisagée est d’inviter les partenaires stratégiques à y prendre une participation.

Un porte-parole de Bwin a confirmé que le réseau Ongame avait été inclus dans le prospectus de fusion comme l’un des actifs qui « ne sont plus nécessaires », étant prêt à être vendu afin de « générer des recettes qui peuvent être ensuite réinvesties ».

« Il y aura un excédent d’actif une fois que les plateformes seront unifiées, et cela peut être le poker. Bwin et Party ont des plateformes solides, et afin d’éviter les duplications, pas toutes les plateformes seront nécessaires », a dit-il.

« Ongame peut être reconditionné et offert à un potentiel acheteur. Les partenariats sont également envisageables, s’ils présentent de l’intérêt. Mais il n’y a pas de date limite pour la décision ».

Le porte-parole a également souligné que les sociétés n’étaient pas « pressées » à renoncer au réseau, et préféreraient peut-être d’attendre la réglementation des jeux en ligne aux États-Unis pour obtenir le meilleur prix possible et maximiser la valeur pour les actionnaires de la fusion.

« Nous croyons qu’il y a toujours une tendance à la réglementation aux États-Unis. Même si le Congrès n’est plus dominé par les démocrates, cela ne le rend pas différent, de notre point de vue.

Nous comprenons que les représentants de l’industrie du jeu américaine veulent que le poker en ligne soit réglementé, pour avoir accès à cette source de revenu. Les évolutions aux États-Unis susciteront l’intérêt dans ces actifs. Mais nous n’avons pas encore établi une date limite ferme, et nous allons examiner toutes les options. »

Bwin a acquis le réseau Ongame pour 474 M € en décembre 2005, mais a ensuite été forcé de déprécier la valeur de son acquisition après son départ des États-Unis en octobre 2006.